Eh bien l'Europe elle, elle n'est la pour personne. Face à cette crise monétaire sans précédent, elle avance en ordre dispersé. Chaque pays colmate les brèches comme bon lui semble. Peut-ètre une ou deux exceptions comme la banque "Dexia" mais seulement du au fait que c'est une banque ancrée dans plus de trois pays à la fois et qu'il a fallu que ces trois pays prennent les mesures concertées. Sinon, prendre exemple sur ce que les US mettent en place et tout particulièrement l'intervention de la FED sur les liquidités, pour l'europe pas question.

Sarkozy demande tout de méme à ce qu'une régularisation se mette en place. Et qui voit-on s'opposer fermement à une mainmise du politique sur le financier? mais la city bien sur. Comme dab. Laissez nous faire nos petites affaires en toute impunité, pas d'ingérence étatique SVP. Au nom du libéralisme prédateur.

De Gaulle l'avait bien dit, l'Angleterre? "une ile, et en plus, entourée d'eau de toute part". Que n'a-t-on, depuis le temps, amaré cette ile aux cotes du New jersey? L'angleterre ne sera jamais européenne. La Turquie peut-ètre. Et que dire de l'Irlande qui se la joue perso ? Aprés avoir largement profité des subsides de cette mème Europe.

Mais revenons à Bruxelle. Prompte à déterminer quelle devra ètre le diamètre des huitres dans la baie d'arcachon, elle ne sait pas mettre en place une politique cohérente face à la récession, plus personne. Circulez, y a rien à voir. Et vos petites économies? ne vous inquiétez pas elles sont garanties, mais si, mais si, puisqu'on vous le dit!!!!

Dans cette tourmente, je ne peux m'empécher de ressentir le poids d'une grande absence, l'absence de celui qui aurait tout de mème réussi à nous mettre du baume au coeur: COLUCHE.


Lire les banques montrées du doigt par l'UE.