Présentation du couple de danseurs:
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L’expression corporelle
Danser c’est absorber la musique par les oreilles (Parfois même par l’estomac dans certaines boites !!! au dela de 80 db) et restituer celle-ci sous formes d’harmonieuses gesticulations de l’ensemble du corps. On transforme la musique en mouvements. Mais c’est tout le corps qui participe à l’alchimie. La tète, les épaules, les bras, les mains, les hanches, les jambes et bien sur les pieds. En lindy, dans tout enchainement de figures, le leader s'attache d'abord à déplacer son centre de gravité. Les bras, les jambes ne sont que des prolongations, bien utiles évidemment mais qui restent au service d’une expression corporelle qui part de l’estomac. Maintenant, selon le jargon, vous vous lachez !!!. Libérez toutes les articulations et laissez aller dans l’harmonie. Certains professeurs insèrent d’ailleurs dans leurs cours des séquences d’assouplissement, le cou, les épaules, la taille tout y passe, mais sur un air qui swingue bien sur.
L’assise du pied au sol et l’attitude lindy
Commencer par se tenir bien droit sur ses pieds. Les talons touchent le sol. Maintenant, laisser aller lentement le corps vers l’avant tout en restant droit. Le centre de gravité se déplace lentement. Arrive le moment ou les talons s'apprètent à décoller du sol. C’est la bonne assise du pied au sol s’agissant de lindy. Ensuite, c’est le genou qui doit fléchir légèrement et le thorax va un peu vers l’avant mais on n’est pas vouté, on redresse la tète. Alors, c’est parfait. Il ne reste plus qu’à présenter les mains vers la cavalière à hauteur légèrement au dessus de la ceinture coudes à angles droits. Et c’est parti !!!...
Ne pas en déduire pour autant que le talon ne sera jamais plus posé au sol. Au contraire il faut s’efforcer
d’intégrer à sa danse et selon les circonstances les posés du talon voire les appuis francs (heels)
Si vous pouvez vous procurer des "Blayer", vous ètes au top de ce qui se fait de mieux comme
chaussures pour le swing.
De fabrication Allemande, elles ne sont pas forcément facile à dégoter mais déja pour leur souplesse n'hésitez pas
à faire vos recherches. Une boutique à LYON: Disc'N Roll.
Connexions
Les mouvements de l’ensemble du corps participent à la communication entre les partenaires. Hubert ne quitte pas son partenaire des yeux. Il lui est même conseillé de sourire aussi. Si certaines figures renvoient dos à dos. On reprend très vite le contact visuel. Cette communication corporelle fait même que les partenaires peuvent en certaines circonstances se désolidariser complètement (Le cavalier a laché les deux mains de sa partenaire) mais ils restent en contact visuel et communiquent par la gestuelle de l’un et de l’autre. Un simple balancement d’épaule vers l’avant en rotation ou tout droit vers l’arrière sera un message en direction du partenaire. D’où l’importance de ne pas se quitter des yeux. On se quitte des yeux dès lors que l’on a saisi quelle était la figure initialisée par le leader.
Tonicité des bras et avant-bras
Une bonne connexion passe déjà par une bonne tonicité dans les bras et avant-bras. Dans son pilotage, le cavalier agit en priorité sur les avant-bras de la cavalière. Ceux-ci doivent en conséquence ètre toniques. On parle à contrario d’avant-bras chamalow. Hubert doit sentir comme une légère résistance à ses sollicitations sur ces avant-bras (Fameux principe de l'action et de la réaction: toute force éxercée sur etc.. etc ...). Par contre, il évite de tirer sauvagement sur ces avant-bras pour enclencher une figure. C’est le corps et plus précisément le buste dans le déplacement du centre de gravité qui doit entrainer la cavalière, vers l'avant, vers l'arrière, ou sur le coté. Dans les bras on ne ressent que des tensions (Intérieures, extérieures, latérales ….). Les bras, les jambes ne sont que des prolongements de ce buste qui lui mène la danse. On évite les gesticulations des épaules.
Les Connexions du danseur
1) L’ancrage au sol.
2) Il reste en contact par les mains. Pour le follower, penser à les présenter en toutes occasions (Positions lindy)
3) La main droite dans le dos à la taille, mieux, un peu plus haut à hauteur d'omoplate. Cette main participera grandement au guidage de la partenaire (Balboa...).
4) Les inclinaisons et orientations du buste du leader participent aussi à la communication
5) La connexion "chest to chest" du pure balboa.
Contrôle des énergies et élasticité.
Une succession de figures procède, en plus du jeu de jambes et du guidage, d'un jeu de tensions entre les deux partenaires. Ces tensions seront dites extérieures ou intérieures selon que les partenaires tendent respectivement à s'écarter ou à se rapprocher l'un de l'autre. C'est encore tout le corps et tout particulièrement les déplacements des centres de gravité qui imprimeront ces effets de tension. On ne tire pas exclusivement sur les bras. Hubert va de l’avant vers l’arrière ou sur le coté, en déplacant son centre de gravité. Ce faisant, il entraine Simone si il a raffermi la connexion (tonicité des avant-bras). Il pourra tout aussi bien libérer SM en donnant du mou, car elle aussi a des choses à exprimer dans sa propre chorégraphie. A ce propos, Hubert devra rester attentif et parfois entrer dans le jeu de Simone en laissant tomber la figure qu'il se préparait à enclencher. C'est la règle du "fifty fifty".
La règle des 50 – 50 !!!
Le lindy est une danse ludique. Les partenaires sont la pour s'amuser. Cela amène, entre autres, la cavalière à prendre elle-aussi de son coté des initiatives dans la chorégraphie. Ce que l'on retrouve nettement moins dans les autres danses de salon. l'étirement sur huit temps d'une mème figure laisse par ailleurs, nous l'avons déja dit, une bonne marge de manoeuvre à la follower dont elle profite pour se livrer à ses propres fantaisies. Charge alors pour le leader de capter et de s’adapter. Il doit entrer dans son jeu. Pas de machisme en lindy. La cavalière a son mot à dire. C’est la règle des 50 50. 50% pour toi, 50% pour moi et chacun y trouvera son compte. D’où l’importance d’une connexion de qualité. Mais déja, la décomposition en huit temps de toute figure sur une phrase musicale laisse à l’un et à l’autre des espaces d’expressions personnelles plus que dans un rock par exemple dans lequel on a bouclé la figure en six temps.
Le moulin à café
Il s’agit ici d'un point de connexion, plus précisément de guidage, à savoir, la façon pour le leader de faire pivoter sa cavalière sur elle-même. La recommandation est d’éviter de lever haut la main au dessus de la tète de la cavalière (Rock N roll). Le cavalier va en fait lever sa main et celle de sa partenaire à peu près à hauteur du front de cette dernière et il entame son action de mise en rotation en moulinant gentiment autour de l’axe vertical de sa partenaire. Ce faisant, il lui dessine comme une belle auréole autour de la tète (Une auréole qu'elle mérite trés certainement...). En s’y prenant de cette façon il améliore son contrôle dans la suite des opérations. Par exemple pour lui faire faire autant de tours que semble le commander la musique.
Cinq positions de base
Position fermée (F)
La, c'est face à face, collé serré. C'est parti pour un tango quoi. Eh bien c'est la position que vous rencontrerez rarement en lindy hop. Par contre, vous retrouverez cette position en pure balboa.Position fermée en V (F)
Les deux danseurs, qui ne sont pas tout à fait cote à cote, forment au sol un angle d’environ 90° (Lignes passant par les deux pieds – pas franchement le cas sur le dessin). Le cavalier a passé son avant-bras droit dans le dos de la cavalière. Il a une possibilité de pilotage sur la hanche droite de la cavalière à la taille (Une demande d’autorisation préalable en trois exemplaires aura été remplie devant témoins et contre-signée). Il a pris la main droite de la cavalière dans sa main gauche. Les avant -bras forment sensiblement un angle droit avec le reste du bras jusqu’à l’épaule (C’est la tenue dite « lindy » s’agissant de la position des bras). La main gauche de la cavalière repose sur l’épaule droite du cavalier. Cette main sur l'épaule fait que la cavalière peut se dégager plus facilement vers l'avant de la position fermée que si elle avait son bras dans le dos du cavalier
Position ouverte (O) :
C’est souvent la position atteinte après exécution d’une figure partie d’une position fermée (Par exemple un swing-out). Les partenaires sont alors face à face. Souvent main gauche (HB) main droite (SM).
Nombre de figures ou variations vont maintenant s’insérer entre ses positions. On pourra aussi partir d’une position fermée pour arriver en position fermée huit temps après ce qui sera noté (F – F). On essaiera de rappeler pour chaque figure les positions de départ et d’arrivée.
Position Ouverture Rapprochée (OR)
La position OR est souvent atteinte au bout de la première moitié d’une figure en huit temps. On peut aussi dire que c’est souvent la position atteinte après une SB (Figure exécutée sur les quatre premiers temps) .
On se retrouve face à face et quasiment dans les bras l’un de l’autre. Les 4 premiers temps d’un lindy turn par exemple amènent une ouverture rapprochée. Plusieurs suites possibles à une OR sur les 4 temps suivants. Il n’y a pas ici d’indications précises quant à la positions des mains et des bras. De préférence tout de même positions « lindy ».
Position du tandem
Consiste à amener la cavalière devant soi mais se présentant de dos au cavalier. La position du tandem est à la base des figures du petit train. Les protagonistes ont plus que d’habitude une attitude lindy. Tète redressée on regarde la nuque de sa partenaire pour éviter au moins de regarder ses pieds.
Les pas de base :
Conventions d'écriture
Pied droit : [D] pied gauche : [G]
Souvent accolés à un pas pour rappeler quel est le pied concerné. Exemple: <step[G]>
M-M = Marche Marche <Step step>
P-C= Pas Chassé <Triple step> Un pied chasse l’autre.
R-S = Rock-Step (Pas de rock)
B-S = Back-Step (pas de rock en arrière)
Notons que le pas chassé (P-C) est bien constitué de 3 petits pas d’où sa désignation Anglo-saxonne: Triple – step. On a posé un pied, l’autre vient se poser à coté pour obliger le premier à se pousser plus loin. Le P-C peut aussi ètre désigné pas de ET. Dans un comptage, on dira souvent <3 ET 4> ou encore <7 ET 8>. Chacun des mots ponctue l’arrivée au sol d’un pied (essayez vous verrez). Je pourrais écrire: <3[G] ET[D] 4[G]> ou <7[D] ET[G] 8[D]>
Les indications rythmiques (Comptage) seront rappelées entre crochets : <timing >
Exemple :<Back[G] step[D] kick[G] pose[G]> |
Figures dérivées
Toute figure qui n’est, à deux trois subtilités près, que la reprise d’une des figures de base est une figure dérivée. Dans une figure sur 8 temps, deux kicks sur le coté peuvent par exemple devenir deux pointés arrière. Il n’y a alors pas de différences fondamentales entre les deux figures. Juste une différence sur 2 ou 3 temps dans les huit temps alloués à l’ensemble de la figure.
A partir du charleston basic par exemple nous pouvons mettre en place n variantes reprenant en fait l’essentiel du pas de base avec les mèmes appuis, les mèmes transferts. La seule évocation du pas de référence pour un produit dérivé doit faciliter et son apprentissage et sa mise en application. Cette notion doit aider à progresser vite et à penser à intégrer rapidement et naturellement ces produits dans l’éventail des figures à son répertoire voire à en inventer.
Nous évoquerons les figures dérivées du charleston, du lindy turn, du petit train, du fall of the log, and so on ....
Les figures dérivées du lindy turn, j'vous dis pas!!!!Le comptage dans un cours
La tyrannie du huit temps
Le huit temps du lindy-hop, pour tout individu fraichement
venu du rock, n’a rien d’inné. Il sera souvent tenté d’accélérer le rythme en shuntant 2 temps. Si il veut quand
même danser sans entraves, à moins d’ètre doué ou d’avoir fait cinq ans de conservatoire il ne lui reste que de s’en affranchir
de cette tyrannie du huit temps. Vous savez ? tout
comme l’esclave qui recouvre sa liberté. N’oublions pas que le lindy nous vient de cette colonie noire Américaine qui a du payer un lourd tribu à
l’esclavagisme. Comme eux relevons la tète, brisons les chaines et laissons aller. Ne soyons pas esclaves du huit
temps. Je ne vois pas pourquoi je ne placerais pas une figure en six temps voire quatre (et surtout 4 on verra plus loin pourquoi ?) la ou la musique
elle-même ou le feu de l’action semble me le commander.
Par ailleurs, que constate-t-on à l’occasion de différents cours ou autres stages ? Eh bien que certains de nos chers professeurs prennent eux-mêmes certaines libertés dans le comptage quand ça les arrange. On pourra incidemment voir dans un cours de rock insérer une figure en huit temps (sous prétexte que c’est dans le vent) voire, mais la ça frise le sacrilège, dans une session de lindy-hop insérer un pas de base de be-bop (du six temps s’il en est). Alors ou est la vérité ?!. La vérité ? C’est la votre mais surtout celle de la musique qui est la seule maitresse en cette affaire. Quand on pose la question au grand maitre du lindy qu’est frankie Manning. Quelle place a le comptage (count) dans votre chorégraphie ? il vous répond, sur le ton de la provocation tout de mème : je ne connais qu’un count Et c’est « Count Basie », il donne d’une certaine façon le signal de la révolte. Commencez donc par danser, on verra après.
Alors le huit temps ? Le huit temps ne peut ètre que l’affaire de la musique et la façon
toute personnelle que nous aurons les uns et les autres de l’interpréter. Quand cette musique est une musique swing mais plus encore carrément
jazzy alors force est de constater, même pour le béotien que je suis,
que c’est bien une musique caractérisée par une mesure à quatre temps.Le « beat » à quatre temps cher aux big
bands jazzy d’outre atlantique d’une certaine époque. C'est Boris Vian qui disait à un de ses musiciens qui avait quelques difficultés
à se caler: "Tu comptes jusqu'à <4> et tu démarres". Si vous avez eu l'occasion d'aller écouter Marc Lafférière
au caveau de la huchette ou au petit journal, vous l'avez certainement entendu dire, en guise de top de départ,
1<2T> 2<2T> 1 2 3 4. Il marque une phrase à vide (8 temps), et c'est parti.
La phrase musicale sur laquelle se développe nombre de figures du lindy est donc l’assemblage de deux mesures.
Il sera dès lors pratique, voire utile, de distinguer la première mesure <SB> (Séquence Back-step) de la seconde <SK> (Séquence Kicks). Vous entendrez d'ailleurs dans les cours, « on va jusqu’à <4> et
on s’arrète ». C’est une demie figure qui le plus souvent se suffit à elle-même.
Convenons donc que la phrase musicale résulte de la concaténation de deux mesures.
Coté chorégraphie, cette phrase musicale sur huit temps va autoriser bien des fantaisies. La chorégraphie amorcée
dans la SB, n’annonce pas forcément ce qui va suivre dans la SK. Par ailleurs, la symétrie de comptage des 4
premiers temps avec les 4 suivants autorise aussi que le cavalier décide à un instant donné (pourvu que cela reste sur la musique) de faire
du temps <5> le temps <1> de la figure à venir. Il a directement substitué à la SK la SB de la figure suivante.
Comment se récupérer d’un 6 temps sur 8 temps
Il peut arriver dans une danse que le couple se soit engagé dans une suite de petites figures en 6 temps
et qu’il faille rattraper le coup pour revenir en huit temps. Alors, un petit saut écarté à <7> aussitôt suivi d’un petit saut jointif à <8>
(hip hop). fera l’affaire. Les slides Cette danse en huit temps, et
nous l’avons déjà dit, laisse bien des opportunités aux partenaires. Chacun dispose, selon les figures tout de mème, de plages de
temps qu’il peut utiliser à sa façon. Et tout particulièrement dans les temps 5, 6, 7, 8 voire même le <1 et 2> de la figure suivante. Ca laisse tout
de même des ouvertures. Quand on peut trouver le temps long, les slides sont la pour le remplissage et sur les temps <5,
6, 7> en priorité. En clair dans la SK. Nous aurons ainsi des slides dans les turns,
les charlestons, les circles etc…..
Désignons par "SB" les quatre temps de la première mesure, par "SK" les quatre temps de la mesure suivante.
Une mème figure, développée sur huit temps, se scindera désormais en deux parties équilibrées, la SB suivie de la SK.
"B" pour Back-step, "k" pour Kicks. En effet, en rock par exemple, et dans le pas de base,
sur les temps <1> et <2> c'est souvent un back-step qui est exécuté (mème si désormais on lui préfère un rock-step).
Par contre on aura souvent affaire à des kicks dans les temps <5, 6 et 7>. Voir charleston basic ou petit train.
M'appuyant sur ces observations, je me suis défini les désignations SB, SK.
Une danse revient à enchainer les figures les unes aprés les autres. Dans la majorité des cas,
une figure démarre sur le temps <1> pour se terminer sur le temps <8> ou <6> voire <4>!!.
Il se trouve cependant des figures que l'on ne peut pas directement enclencher sur leur temps <1> aussitot
aprés le temps <8> de la figure précédente.
Exemples:
Amener la position du "tandem" en lindy-hop ou un "side by side" (Corbeille) en balboa.
Dans un Balboa, on ne pourra pas enclencher une série de cross over accolée à une série de pas de base.
Le couple devra passer par une figure de transition. Soit la figure qui servira à passer gentiment
du pas de base aux cross over. La figure de transition fait office de raccord.
Apparences possibles de ces figures de transition:
1) On passe ex abrupto d'une figure dans l'autre sur un temps intermédiaire <t> donné.
2) On transite de la figure de départ à la figure d'arrivée sur deux ou trois temps élémentaires.
C'est une transition en sifflet. On développe sur ces trois temps une petite figure appropriée.
3) La figure de transition prend la place de toute une phrase musicale et consommera donc les huit temps de base.
Il nous sera mème donné de constater, à l'occasion d'un stage ici ou la, que pour passer d'une série de figure à une autre,
certains profs vous promèneront par deux ou trois figures intermédiaires, mais la c'est le délire.
Ce qui relève plus d'un méticuleux montage chorégraphique que d'une simple indication pédagogique.
4) La figure de transition peut s'insérer à cheval sur deux phrases musicales.
Ainsi du passage d'une série de cross-over à un break-turn pour une sortie du cross-over. A <7> du
cross-over on HB engage un marché tournant sur sa droite pour se retrouver à <3> dans le <3>
du break-turn. Il pourra alors dès le <7> à venir rattraper le pas de base par un "hips" mode Marty.
5) En marge de ces figures dites de transition, on peut aussi rappeler que certaines courtes figures
développées sur <4 temps> par exemple, peuvent prendre place à cheval sur deux phrases musicales. Souvent
d'ailleurs sur <7 et 8> de la première phrase et le <1 2> de la phrase suivante. Ainsi d'un croisillon ou d'un
Ryan kicks.
Croisillon: <écart jointure écart jointure>
Ryan kicks: <saut latéral kick ramène>